Animaux et Nature en périls

Animaux et Nature en périls:

Sachez que tous ce qui suit est vrai, hélas, je n’ai nul raison d’inventer pour vous montrez à quel point la Nature en général, et les Animaux en particulier, ont grand besoin de chacun de nous.

Lorsque vous aurez lu ce qui suit, n’oubliez pas d’aller faire une visite sur les liens indiqués. Vous découvrirez comment vous pouvez être utile, même sans verser un cent.

Merci pour chaque site que vous visiterez.

Au nord du Canada un ours blanc dérive sur un morceau de banquise qui désormais a la taille d’un glaçon à peine plus vaste qu’une petite auto citadine.

 

L’ours a faim, il est particulièrement maigre, et si la privation de nourriture perdure, il n’aura pas la graisse suffisante pour résister au vent glacial du nord et à l’eau, une eau qui le frappe de plus en plus souvent en passant par dessus son petit radeau. Alors, l’ours ne pouvant plus rester là se laisse glisser dans l’eau froide dans le but de nager jusqu’à retrouver un autre morceau de banquise et l’espoir qu’il y trouvera aussi de quoi se nourrir enfin. Le pauvre ours ne sait pas qu’il n’y a plus de glace flottante. Après plusieurs heures, à bout de force, il va stopper sa nage et il s’enfoncera dans le noir des abysses.

 

Combien de ses congénères disparaîtront ainsi ? Bientôt il n’y aura d’ours polaire que dans des parcs animaliers proches des grandes villes et sur des photos.

 

C’est un effet du réchauffement climatique et de la raréfaction de la population de phoques suite aux massacres annuels encouragés par les autorités stupides du Canada.

 

Chaque année, les autorités canadienne organisent et encouragent le massacre de quelques centaines de milliers (+ de 300 000) de bébé phoques pour en récupérer la fourrure. Quelques centaines d’hommes débarquent sur la banquise et viennent y assommer les bébé phoques avec des gourdins pour ne pas abîmer les peaux qui seront vendues. Un commerce qui n’a plus aucune utilité de nos jours, il y a bien longtemps que l’homme a inventé des produits moins chers et plus efficaces pour lutter contre le froid.

Les bébé phoques sont dépecés alors qu’un sur deux est encore vivant et survivra parfois près d’une heure encore après avoir été supplicié. On a vu des mamans phoques essayer de réchauffer et d’allaiter leur enfant mourant, et, preuve que même les animaux ont une conscience, on a vu des phoques avec des larmes couler sur leurs joues.

Une banquise qui était du blanc de la paix devient rapidement rouge par la méchanceté humaine.

(Liens plus loin).

En Afrique australe, dans la brousse qui longe le grand désert du Kalahari, un 4×4 avec quatre hommes à bord fonce dans la nuit finissante. Sur le plateau arrière une tronçonneuse au moteur encore chaud cogne contre la ridelle. Les hommes rient et plaisantent en contemplant le résultat de leur expédition meurtrière.

En remontant les traces de roues laissées par le 4×4 on arrive à un carré de savane piétiné. Là, il y a un bébé rhinocéros qui pousse le ventre de sa mère. Mais sa mère ne peut plus se lever pour le laisser téter. Elle est couchée là, les pattes dans le prolongement du corps. La tête de la pauvre bête est mutilée par une large blessure faite à la tronçonneuse pour lui voler la corne ornementale. Une nuée de mouche vient s’abreuver au sang qui s’en écoule encore.

Bientôt le bébé rhinocéros ne pouvant plus être nourri mourra auprès du cadavre de sa mère.

Pourquoi ? Parce un riche négociant chinois veut s’enrichir encore plus en vendant la corne réduite en poudre soit-disant aphrodisiaque. Une poudre dont nous avons les preuves qu’elle n’est en rien aphrodisiaque, mais que ne ferait pas un homme pour en avoir une plus vaillante !

Dans la forêt gabonaise, en Afrique de l’ouest, un petit groupe de braconnier s’avance en faisant le moins de bruit possible pour venir surprendre une famille de gorille. Arrivée à vue, ils arment leurs puissants fusils et tirent, exécutant sans raison cette famille cousine des humains. Le silence des armes n’est pas encore stabilisé, les hommes s’approchent de leurs victimes avec une machette à la main. Un jeune gorille n’est que blessé, ils l’achèvent, puis, d’un coup précis qui montre de l’habitude, ils tranchent les mains des grands singes puis reprendront le chemin de la « civilisation » où ils sont attendus par un courtier trafiquant. Les mains iront trôner sur les bureaux de riches hommes d’affaires asiatiques pour servir de cendriers.

Une maman gorille et son enfant, plus humaine que beaucoup d’humains

En Afrique, en 2013, des ordures de Malais et des fumiers de Chinois continuent de payer des mercenaires pour assassiner les derniers éléphants de forets pour s’emparer de leurs défenses, et pour cela ils n’hésites pas à tuer les hommes chargés de la protection de ces mammifères dont l’espace vitale diminue aussi vite que leur nombre. Depuis l’an 2000 c’est plus de mille gardes forestiers qui sont tombés sous les balles des AK 47 financés par les Malais et les Chinois. Nos enfants ne verront jamais d’éléphants en liberté, bientôt le dernier sera tué et mutilé pour le plaisir pervers d’un riche criminel contre la Nature et l’humanité. Et cela sans faire le titre du moindre journal TV ou Radio. Des trafiquants qui n’hésitent pas à assassiner les gardes forestiers conscients de l’importance qu’il y a à protéger les animaux et leur environnement.

 

            Des chinois que j’aimerais voir disparaître dans les pires souffrances, les mêmes qu’ils infligent par exemple aux ours noirs qu’ils enferment dans des petites cages où ils n’ont pas la place de bouger pour leur planter de grosses aiguilles dans le ventre pour en extraire leur bille avec l’espoir d’avoir de meilleurs  performances sexuelles ou pour vivre plus longtemps. Croyances stupides. Ce sont des ours qui vivront toute leur misérable existence dans ces minuscules cages pour se faire perforer l’abdomen toutes les semaines. Et dire que le monde entier baisse la culotte devant les chinois parce que cela facilite la mise en esclavage des peuples afin qu’ils travaillent toujours plus pour recevoir toujours moins de salaires. 

 

         Autre scandale, la vermine chinoise détruit la totalité des lieux de vie des Pandas géants qui, en liberté, ont quasiment totalement disparu. Des chinois parasites qui ont on demandé et obtenu une fortune considérable pour prêter un couple de Panda au parc de Beauval avec le souhait de pouvoir le récupérer accompagné d’un enfant Panda. Non content d’exterminer un animal magnifique et merveilleux, ils en profite pour se faire du pognon.

 

Aux îles Féroé, chaque année une grand fête est offerte à la population qui attend cet événement avec excitation. Cette fête, presque aussi ancienne que le peuplement de cet archipel de l’Atlantique Nord sert à démontrer la virilité des jeunes hommes. Même de très jeunes adolescents y prennent part.

Cette fête consiste à emprisonner le plus grand nombre de dauphins Calderon (très doux, gentil, joueurs et intelligents au point parfois de sauver des humains naufragés, et surtout dépourvus de dangerosité) dans une baie pour qu’ils ne puissent pas s’enfuir, et les jeunes hommes plongent pour aller tous les tuer avec un couteau. Le massacre se déroule dans une mer rouge devant une foule folle d’un plaisir orgasmique.

Durant un an, les dépouilles des pauvres dauphins ne servent qu’à donner à manger aux crabes.

Comment au 20ème et 21ème siècle des humains peuvent encore se comporter de la sorte sans que cela ne choque personne, et comment des femmes peuvent encore vouloir baiser avec des hommes plus habile avec un couteau qu’un pénis ?

Illustration du massacre des dauphins aux îles féroé

Une mer rouge du sang des pauvres dauphins massacrés y compris par des saloperies d’enfants qui en retirent un immense plaisir

Même les enfants à naître sont tués

Il n’y a que des monstres qui peuvent prendre plaisir à tuer une mère et l’enfant à naître qu’elle avait encore dans son ventre.Voilà ce que peut faire un homme pour plaire aux pouffiasses.

Ce n’est pas le seul endroit sur Terre où les dauphins doivent subir la folie meurtrière des hommes.

Dans le golfe de Gascogne, on a vu des mains pêcheurs tuer des dauphins avec des fusils à pompes sous le prétexte que les dauphins mangent des poissons.

Au Japon, une autre fête annuelle a pour objet la tuerie de ces pauvres mammifères marins. Sur les côtes japonaises se sont chaque année, et en 24 heures, environ 23 000 dauphins qui sont tués. Dans la seule baie de Taiji, ce sont environ 2 500 dauphins qui y sont attirés, puis tués pour le plus grand bonheur de la population locale. Et pourquoi ?

Tout d’abord, il faut savoir que les dauphins qui vivent dans les eaux du Japon sont de la variété Tursiops Truncatus, celle du célèbre Flipper. Les parcs aquatiques payent sans rechigner la somme de 150 000 € pour chaque spécimen femelle commandée. Les autres dauphins pourrissent dans la mer pour une part, l’autre part est vendue dans des restaurants chics et chers à des clients fortunés qui payent plus de 600 € le kilo de viande rebaptisée « viande de Baleine ».

Les Baleines que la convention de Washington a placées dans le tableau des espèces protégés interdites de chasses font toujours l’objet de massacre en nombre d’autant plus élevé que les sujet tués sont plus petits n’ayant plus le temps matériel de devenir complètement adultes. Là encore, ce sont les Japonais les champions du monde incivilisé, et cela uniquement dans le but de servir de la viande à la riche bourgeoisie (nombreuse) japonaise.

 

Et quoi que pourrait bien en dire certains, il n’existe aucune justification économique à ces massacres. Et pendant ce temps, un milliard de terriens ne mange pas à sa faim n’ayant pas 600 € à donner pour un seul repas.

 

Même les massacres de requins est un pur scandale qui démontre à quel point des hommes peuvent se révéler dans leur côté le plus sombre, le plus stupide, le plus obscène, le plus vil, le plus mercantile, le plus odieux et le plus empli de méchanceté.

Sur l’ensemble de la planète, les requins tuent 5 personnes par an, pas plus. Pourtant, si on écoute les médias, on pourrait croire que l’espèce humaine est en danger d’extinction. 300 personnes sont mortes de simple noyade en dehors de toute présence de requin et cela uniquement sur les côtes françaises en 2012.

Cinq morts par ans tués par des requins dont le territoire naturel qu’est l’océan est envahi par toujours plus d’humain qui vient y jeter ses déchets et y apporter sa pollution.

Faire les premières pages ou les gros titres du journal de 20 heure avec une « attaque » de requin c’est soit une mauvaise plaisanterie, soit une tentative délibérée de calomnier un animal qui pour l’homme ne représente en réalité aucun danger.

Savez vous combien de morts il y a chaque année par une simple piqûre d’abeille ?

Il y en a 400

400 personnes tuées par des abeilles  et il ne viendrait à l’idée de personne de les exterminer, mis à part un ou deux fabriquant d’insecticide et herbicide agricole.

Les tigres pouvaient tuer quelques dizaines de personnes par ans, personnes qui s’aventuraient sur leur territoire sans y être invité. Désormais ce nombre diminue d’année en année proportionnellement à la vitesse d’extinction de cette famille de félins.

Ce sont les moustiques qui tuent le plus grand nombre d’humains, plus de 2 000 000 ( 2 millions) de morts par an rien qu’avec la piqûre d’une femelle moustique. Nous sommes bien au-dessus des 5 morts par an imputables au fait que des hommes ont été se baigner dans l’espace naturel de ces grands poissons utiles pour la propreté des mers et océans.

Les serpents tuent chaque année 100 000 personnes, les lions moins de 250, les méduses une centaine, les hippopotames 200, souvent par noyade. Et les scorpions, petits  mais costauds puisqu’ils tuent environ 4 000 personnes chaque année.

Pourquoi je viens d’écrire cela ? Eh bien, je vais vous le dire.

Quoi que puisse laisser penser un gros titre du genre, encore un surfeur tué par un requin à la Réunion, le requin est un poisson en voie d’extinction. Et je précise que l’immense majorité des requins est absolument inoffensive, à l’image du plus grand d’entre eux, le requin Pellerin, (aussi appelé requin baleine en raison de sa taille) qui ne se nourrit que de toutes petites crevettes et de plancton.

 

Tous les ans, et sans que cela ne gène qui que ce soit, des centaines de milliers de requins sont capturés par des pêcheurs sans foi ni loi, avec un grand couteau ces hommes leur coupe la nageoire dorsale, l’aileron, puis, ils rejettes le pauvre requin mutilé dans l’océan où il mourra en quelques heures suites à des souffrances comparables à celles que ressentirait un enfant à qui on couperait un membre sans aucune anesthésie.

Et les champions de cette chasse horrible sont encore une fois les Japonais.

Pour l’homme, tuer un requin c’est un jeu, pour les riches qui pratiquent la pêche « aux gros » c’est une démonstration de virilité et le bonheur d’assurer sa supériorité en infligeant la souffrance avant la mort totalement inutile. Pour le requin, capturer et tuer une proie, c’est une nécessité, et, pour le requin, l’homme n’est en rien un met de choix.

Rien qu’en écrivant ces lignes d’informations hélas véridiques, j’en ai les larmes aux yeux, alors je vais me faire plus bref.

Requin dans les coraux

Mais pensez aux souffrance d’un taureau que l’on fait saigner par pour l’affaiblir afin qu’après 30 minutes un putain d’homme déguisé en sapin de noël puisse lui planter une épée derrière la tête.

Pensez aux Koalas d’Australie qui se meurent parce que la déforestation, la destruction de leur habitât naturel, empêchent de pouvoir trouver des partenaires sains pour la reproduction. Un Koala ne peut pas faire des kilomètres pour passer d’un petit îlot d’eucalyptus à un autre à cause de la distance mais surtout des prédateurs dont les véhicules humains sont les plus dangereux.

Pensez aux tigres, bientôt plus aucun ne vivra en liberté, idem pour les ours, pour les panthères des neiges et le guépards par exemple. Les tigres ont quasi été exterminés parla destruction de leur environnement par des humains débiles et massacrés par d’autres humains fous désireux de démontrer en cela leur toute puissance.

Pensez aux orangs-outans et aux pauvres gibbons qui ne disposent plus des espaces de forêts primaires où ils vivaient depuis des milliers d’années. Les derniers fuient avant de disparaître devant la folie des hommes qui plantent des palmiers à huile, une huile dangereuse pour l’humanité. L’orang-outan et le gibbon sont des animaux particulièrement sensibles et intelligents. D’ailleurs, orang-outan signifie « presque homme », ou « homme des arbres », à part qu’un orang-outan ne sera jamais aussi meurtrier qu’un homme, et surtout pas par plaisir ou cupidité.

Pensez aux palombes que des « chasseurs » attendent dans des tours pour pouvoir mieux les flinguer au moment où ces pauvres volatiles sont le plus vulnérables, épuisés qu’ils sont par leur long vol migratoire. Une chasse totalement illégale mais protégée par les politiques de tous bords pour lesquels des flots de sang d’êtres innocents ont bien moins de valeurs que quelques bulletins de votes. Palombes de moins en moins nombreuses. Ceci est vrai pour d’autres espèces animales.

Fort heureusement, si il existe des gens auxquels je me refuse de leur accorder le titre d’humains, il existe aussi et surtout nombre de personnes très biens. Sur le Net, mon épouse et moi avons été heureux d’en rencontrer un certain nombre, trop pour que je puisse les citer ici, mais, c’est personnes plus qu’estimables se reconnaîtront. Une grande majorité sont des femmes, des femmes admirables, courageuses et d’une grande sensibilité.

J’évoquerais tout de même un homme, c’est Paul Watson, le fondateur de la Sea Shepherd Conservation Society qui a parmi ses priorités la fin des chasses à la baleine. Lui et ses compagnons n’hésitent pas, au risque de leur vie, à se placer sur de frêles embarcations entre les canons harpons des chasseurs et les baleines sans aucune défense. Paul Watson finira sans doute ses jours en prison puisque plusieurs pays à la suite du Japon veulent le traîner devant les tribunaux pour piraterie et éco-terrorisme. Une bien lourde et injuste accusation pour un protecteur de l’environnement et des espèces animales en voie d’extinction.

Les parasites japonais s’autorisent à chasser et tuer un minimum de 1035 baleines par an sous couvert de recherches scientifiques, le ignobles menteurs. Les baleines qu’ils tuent sont de plus en plus petites car de moins en moins nombreuses et elles n’ont plus le temps de devenir adultes. Les japonais cherchent à tuer 1035 baleines par ans pour la science, une science qui se vent 600 euros la portion dans les restaurant de l’archipel.

Quand je pense que certains les plaignent parce que 150000 d’entre eux ont été tué par 2 bombes atomique ça me fait sortir de mon slip à reculons. (2 bombes nucléaires qui ont sauvé plus de 20 millions de japonais et au moins 500000 Américains).

 

 

Il faudrait aussi que des voix s’élèvent contre les combats de chevaux aux USA dans l’Etat du Montana. On enferme deux chevaux mal dans une petite arène pour que l’instant de domination les fasse se battre jusqu’à la mort. En France sont ainsi organisés des combats de chiens avec de gros paris d’argent pour des gros cons. Dans les départements français d’outre mer ce sont des combats de coqs qui servent de supports à des paris clandestins d’argent. Curieusement il n’y a que les autorités qui n’en savent rien. A combien s’élèvent les pots de  vin ? Car enfin, comment expliquer l’absence de sanctions contre ces combats illégaux !

Restons aux USA. Que penser de ces abrutis d’américains qui pour prouver leur ardente virilité, et gagner du pognon, participent à des rodéos chevauchant des chevaux et des taureaux « sauvages ». Pour prouver leur virilité ces amérloques compriment les parties génitales des animaux avec une sangle serrée avec violence. Les pauvres chevaux et taureaux ruent parce qu’ils sont rendus fous par la douleur que l’écrasement de leurs organes génitaux provoque. Dans la foule il y a des hommes qui applaudissent comme des abrutis en rêvant être à la place du cow boy sans en avoir le courage et des femmes qui mouillent de voir ces hommes dompter la souffrance de l’animal en imaginant se faire sauter par des bites de 30 cm.

J’ai des propos obscènes!!!!!??!!?

N’est-ce pas plutôt cette pratique qui déplace des foules payer pour assister à l’exploitation des douleurs animales qui est obscène. Et tout cela toujours au nom du dieu argent, et pour le plaisir jouissif de certains humains.

J’ai pour habitude d’être franc, d’utiliser les mots justes, et ce qui pourront être choqué sont obligatoirement ceux qui sont dans le camp de tortionnaires et probablement qu’ils sont du nombre de ceux qui abandonnent leur chien sur l’autoroute. Je suis un homme libre et je dénonce les horreurs avec les termes qui conviennent.

En Inde, ce sont des combats entre serpent crotale très dangereux et mangoustes petit mammifère qui servent à attirer les billets de banque dans les poches de quelques hommes sans scrupule. Billets sortant des poches de gens n’ayant pas plus de scrupule.

Puisqu’il y a des gens aussi odieux qui sont à ce point assoiffés de sang, je propose que l’on remplace tous les combats où un animal est présent par des jeux du cirque où des hommes, ou des femmes, combattraient les uns contre les autres avec de petites épées et des petites fourches, et cela jusqu’à ce qu’il n’en reste plus qu’un. Ce « un » devant reprendre le combat dès la semaine suivante, et pas de quartiers, les blessés devraient être achevés.

Je poursuis avec fermeté pour proclamer que les ménageries devraient être totalement interdite dans les cirques, et les numéros avec tigres, lions, éléphants et autres animaux autres que des chiens (spécialement éduqués et bien soignés) et des chevaux sous la responsabilité de vrais professionnels, qui aiment avant tout leurs monture au point de tisser avec elles de véritables liens de confiance.

Un tigre ou un lion n’est pas sur Terre pour vivre dans une cage de 5 m², un éléphant à besoin d’espaces pour demeurer un animal équilibré, il n’est pas fait pour être enfermé dans 15m² (la taille d’une cuisine) entre deux numéros débiles réalisés pour tirer des poches de l’argent de personne totalement irréfléchies.

Combien d’enfants sont nés sans bras et sans jambes après que leurs mamans aient avalé un médicament, le thalidomide, testé sur des dizaines de milliers d’animaux et déclaré sans réel danger.

En quoi brûler par dizaines de milliers des chats, des singes et des chiens avec des chalumeaux, avec des acides, avec de l’huile bouillante sans les tuer, (il mourront des jours plus tard dans d’abominables souffrances) ou encore après un passage de 2 minutes dans un fours à micro-ondes, pour qu’ils soient très brûlé mais pas encore mort, peut sauver une vie? En rien, mais strictement rien, par contre, les hommes, (et des femmes) prennent plaisir à réaliser ces tortures avec un grand professionnalisme. C’est un métier qui paye bien et fait gagner énormément de pognon aux dirigeants et actionnaires des labos.

En quoi mettre des bâtons de rouge à lèvres dans l’anus de dizaines de milliers de lapins, chaque année, dans chaque labo des grandes marques, jusqu’à ce qu’ils présentent des plaies de l’anus purulentes et jusqu’à en faire mourir ces pauvres lapins peut-être sécurisant pour les femmes qui se passeront le sang des lapins sur leurs lèvres pour attirer les baisers plaisirs?

Yves Rocher fabrique et vend des cosmétiques, il vent des rouges à lèvres, et aucun de ses produits n’est testé sur l’animal. Aucune de ses clientes n’a manifesté des allergies, aucune de ses clientes est morte. Alors, qu’elle est la justification de tous ces meurtres d’animaux?

Afin de justifier l’injustifiable, les partisans de la vivisection n’avancent pour seul argument que cela permet de sauver des vies. C’EST FAUX et ARCHI FAUX. Aucune de leurs expériences n’est fiable en raison des différences entres les animaux et les humains, parfois, nous l’avons vu, cela conduit à des catastrophes avec des milliers de morts et d’handicapés à vie avec des degrés divers. La seule justification c’est le pognon, chaque série d’expérience rapporte énormément aux propriétaires et actionnaires des labos, et la fortune d’élevages d’animaux qui débutent leurs vie avec un avant goût des horreurs à venir. Le tout avec la complicité aveugle et sans âme de quelques grands pontes de la chirurgie et de la médecine, et la complicité des politique, même les verts.

En 2012, il y a encore des femmes, des salopes, qui osent se vêtir avec des fourrures animales vendues dans les boutiques les plus chics de la planète.

Quand verrons nous toutes ces horreurs absurdes dans les archives du passé? Tant qu’il y aura des politiques, tant qu’il y aura des lobbys, tant qu’il y aura des relations parfois très proches ou intimes entre les politiques et ces lobbys, et bien toutes ces horreurs perdurerons. Nous sommes les seuls à pouvoir y mettre fin. Pour cela il faut poser des questions aux politiques et faire jouer le bulletin de vote.

Je suis dur, j’utilise un vocabulaire sévère, mais je suis juste. Je ne dis que ce qui est.

Le commerce de la fourrure n’a rien à voir avec le lux, c’est le commerce de la luxure parce qu’il y a de par ce monde quelques centaines de milliers de pétasses qui ne peuvent pas avoir d’orgasme si les pervers qui s’en servent de dévidoir à sperme ne leur font pas cadeau de la peau d’animaux qui ont souffert l’enfer pour le plaisir de ces putes et la fortune des fourreurs.

Les champions des fourrures illégales faites de peaux de chats sont des ordures de Suisses, oui, c’est la Suisse qui est la championne de la fourniture, des fourrures  de chats et de chiens dans les plus grandes enseignes de la mode, (et surtout des chats). Et lorsque les élevages ne fournissent pas assez de chats, et bien des voles sont organisés, y compris en France pour fournir plus de peaux, et faire augmenter les bénéfices. Le commerce des fourrures animales est le plus odieux qui soit, et ceux qui y sont associés ne méritent pas le pardon et encore moins le qualificatif d’humain. Personnellement je ne peux que souhaiter que toutes les femmes qui portent des fourrures et que tous les hommes qui sont liés à ce commerce crève dans les pires souffrances possibles après avoir vu leurs enfants mourir dans les douleurs. Et dire que les putains qui s’habillent avec des fourrures se moquent de Brigitte Bardot. BB, voilà une femme estimable.

Les « verts » le parti politique, nous les brisent menu menu avec le nucléaire et les sans papiers, mais jamais ils ne protestent contre ce marché qui torture et tue environ 50 millions d’animaux chaque année.

Liens qui méritent une visite :

http://www.association-galgos.fr

http://www.levriers-sans-frontieres.com

http://www.levriers-du-sud.org

http://www.chasse-aux-phoques.com/massacre-phoques-canada.html

http://www.actuanimaux.com

http://www.urgenceanimaux.com

http://www.clicanimaux.com

http://www.associationjusticepourlesanimaux.org

Ceux qui auront parcourut les pages précédentes se poseront peut-être la question du pourquoi mon titre de site puisque j’ai surtout parlé d’animaux.

Ce n’est pas incompatible car la réalité est qu’animaux et environnement, nature, sont intimement liés, les uns ne vont pas sans les autres.

 

Beaucoup d’animaux souffrent par la faute des hommes, et des espèces entières sont en voie de disparition alors que beaucoup ont disparues avant même d’avoir été répertoriées à cause de la destruction de leur habitât naturel, notre environnement, la Nature.

 

La destruction des espaces naturels entraîne également la disparition de plantes dont certaines ne sont même pas encore répertoriées. Et n’oublions pas que de très nombreux vaccins et médicaments sont issus des plantes. L’homme ; dans sa folie destructrice des espaces naturels risque en plus de perdre des potentiels de guérisons pour nombre de maladies humaines.

Au Brésil des millions d’hectares de la forêt amazonienne ont été détruits pour les remplacer par des cultures destinées à faire des « bio-carburant » qui n’ont en réalité absolument rien de bio.

Il est même scandaleux que des terres qui hier étaient sauvages deviennent le tombeau d’espèces animales déjà fort menacées et d’espèces de plantes aux pouvoirs thérapeutiques possibles.

Il est encore plus scandaleux lorsque des milliers d’hectares de très bonnes terres agricoles sont détournées de la culture nourricière pour devenir des cultures destinées à faire de l’éthanol pour faire plaisir à quelques écolos stupides et remplir les poches de quelques agents pétroliers. C’est le cas d’une grande compagnie pétrolière très connue en France qui a acheté 4 000 hectares des meilleures terres agricoles de Roumanie (ou Bulgarie, j’avoue ne pas être certains du pays exact – je pense cependant que c’est la Roumanie).

 

En Malaisie, la forêt primaire où vivaient les Orang outans est détruite entraînant la disparition de ces « presque Hommes » aux profits de quelques riches industriels qui font planter par des Malaisiens n’ayant pas de quoi se nourrir convenablement des centaines de milliers d’hectares de palmiers à huile. L’huile de palme qui empoisonnent les gens à faible prix. Car l’huile de palme est un poison, que ce soit lorsqu’elle est ajoutée aux aliments humains, on en met même dans des laits pour bébé, ou que ce soit lorsqu’elle sert d’excipient pour des produits cosmétiques.

Il est urgent d’interdire toute nouvelle plantation de palmiers à huile et encore plus urgent de détruire les plantations existantes pour laisser la Nature reprendre ses droits.

Alors qu’en Afrique des dizaines de millions de personnes ne peuvent pas manger à leur faim, des quantités considérables de terres fertiles sont exploitées par de riches industriels européens, arabes et chinois. Les Arabes, surtout l’Arabie Saoudite, ont acheté des milliers d’hectares de bonnes terres pour la production d’éthanol. Les Chinois exploitent des terres fertiles pour des cultures destinées aux seuls Chinois, et tant pis si la Chine est complice des grandes famines qui frappent l’Afrique de l’Est.

L’arnaque réside dans les appels aux dons pour nourrir les Africains, c’est une arnaque intellectuelle et sociale initiée par l’ONU et d’autres Etats. Et les « bonne âmes » qui se font de la pub, ou se donne bonne conscience, en demandant aux gens exploités des pays dits « riches » comme la France (où la misère gagne chaque jour) de venir en aide aux Africains feraient bien mieux de dénoncer les responsables des famines. Et je ne parle pas des ONG qui pour moi ne sont que des pompes à fric qui ne va qu’en très faible partie à ceux qui en aurait vraiment besoin. Ne rien donner, jamais, vous protègerez ainsi la Nature et les humains.

Quant aux européens, ils exploitent les meilleurs terres non pas pour produire des aliments pour des Africains, mais pour produire des haricots vert destinés à la France et des roses par millions pour être proposées dans les grandes surfaces et grandes enseignes de l’Europe. En échange, des milliers d’Africains sont exploités car si peut payer qu’ils ne peuvent même pas faire deux repas par jour, et le seul qu’ils font n’est en rien équilibré.

 

Ce sont des exemples d’une Nature malmenée et détournée de ses fonctions qui sont : filtrer l’air et participer à la régulation du climat en température et en humidité. La Nature sait nous nourrir et nous soigner même si elle a besoin des humains pour confectionner les produits actifs des plantes.

 

Chacun a appris à l’école que les crues du Nil étaient une bénédiction dans le passé au point que des sacrifices étaient adressés au fleuve pour qu’il veuille bien irriguer ses berges et y déposer son riche et fertile limon.

En 1958 le président égyptien Nasser ordonna la construction du barrage d’Assouan qui sera inauguré par son successeur le président Sadate en 1971.

Ce barrage a stoppé les crues du Nil, donc les berges cultivables ne sont plus amendées par les riches dépôts venant des hauts plateaux de l’Afrique Centrale. Premier désastre écologique.

Le second désastre écologique, ce sont les milliards de mètres cubes d’eau perdues par infiltration et évaporation. Enfin, les sédiments qui nourrissaient les égyptiens sont maintenant retenus par le barrage qui s’envase à raison de plus de 6 500 000 mètres cube par an. Autre désastre écologique.

Une autre conséquence de la construction de cette absurdité fut l’obligation de transporter le grand temple d’Abu-Simbel construit sous le règne de Ramsès II. La communauté internationale, sauf l’Egypte de Naser a dépenser une fortune pour sauver ce monument, que n’en fait t’elle pas autant pour sauver des espèces qui disparaissent et pour la protection des environnement.

 

Les Chinois ont fait la même erreur en plus grande encore avec le barrage dit Des Trois Gorges. Plus de sédiments pour venir enrichir les terres cultivables. Et, j’attends avec gourmandise le tremblement de terre que la folie des grandeurs chinoise ne manquera pas de provoquer dans un futur peut-être pas très lointain. On augmente pas le poids supporté par une portion de la croûte terrestre sans en subir un jour ou l’autre les conséquences. Et là ; il s’agit de milliards de tonnes d’eau et de plus en plus de boue qui viennent peser sur cette partie de la planète déjà fragilisée par la compression qui provoque la surrection de la chaîne himalayenne.

 

Au Brésil, les travaux pour un barrage géant ont commencé (même si la justice les a suspendus en août 2012 en attente de nouvelles informations sur les conséquences).

Ce barrage de Pelo Monte sur le Rio Xingu prévoit la destruction de plus de 6 200 km² de forêt amazonienne. Il va faire disparaître un groupe d’environ 25 000 humains qui depuis la nuit des temps ont toujours vécu en harmonie avec l’environnement et en symbiose avec le Rio. Si le projet abouti, ces humains sages seront évacués, dispersés et soumis à tous les travers de la société de consommation.

600 espèces de poissons vont déserter ce Rio, et ils vont disparaître, comme l’espèce endémique, le pléco-zèbre. Encore une grande partie du poumon de notre Terre va disparaître augmentant d’autant le réchauffement climatique.

 

Partout sur la planète la nature et les animaux sont en danger, et cela vaut aussi pour les mers et océans.

Sur terre des abeilles meurent par millions, plus de 100000 ruches disparaissent chaque année à cause des insecticides imposés par les (pour ne pas dire LE) grand groupes de l’industrie chimique qui vont jusqu’à interdire aux cultivateurs de faire leur propre semences destinées à re-semer leurs parcelles.

 

Dans la mer, ce sont les hydrocarbures, les métaux lourds rejetés dans les eaux par les industries et les plastiques qui déciment des populations d’animaux marins. Les hydrocarbures et les métaux lourds les empoisonnent, et ceux qui ne meurent pas deviennent dangereux pour la consommation humaine.

Afin de réaliser plus de profits, des industriels ont établi des fermes marines. D’immenses  cages flottantes emprisonnent des millions de poissons (saumons, dorades, etc) serrés comme le sont les sardines dans leurs boites. Ces poissons sont en très grande partie nourris et engraissés avec des farines de poissons.

Pour 1 kg de saumon que vous achetez en pavés en en fines tranches fumées pour noël, il faut de 6 à 8 kg de poissons sauvages pêchés en masse et sans considération dans des zones où ils seraient plus utiles pour nourrir les cabillauds qui pour certains deviennent morues une fois salées.

C’est ainsi que l’on transformes des zones entières d’océans en désert où quasi toute vie disparaît.

Des dauphins et des tortues marines meurent par milliers à cause des sacs plastiques qui fréquentent les mers et océans par milliards. Les dauphins et les tortues confondent ces sacs plastiques avec les méduses qui son tune part de leur régime alimentaire habituel. Un dauphin retrouvé mort sur une plage de l’Atlantique avait une boule de 4 kg de sacs plastiques dans son estomac.

Un scandale.

 

Les médiats ne cesses de nous bassiner avec le Co2 et le réchauffement climatique. Ce n’est en réalité que des campagnes afin de nous faire supporter toujours plus de taxes, e ton veut obliger les gens modestes à se priver afin que la noblesse d’argent puisse se goinfrer d’avantage encore.

Ici, on veut limiter nos mouvements, baisser notre chauffage, nous faire payer des écotaxes. Mais on encourage les pays dits émergents à polluer de plus en plus. Chaque année, ce sont des suppléments de 5 à 10% de gaz à effet de serres que ces pays  larguent dans l’atmosphère, et qui paye ? Nous bien évidemment. Mais le plus dangereux, ce sont les milliards de mètres cube de gaz méthane qui sont emprisonnés sous le permafrost des toundras  du Canada et de la Sibérie. Le jour où le sol sera assez dégelé, ce méthane se répandra dans l’atmosphère faisant grimper en très peu de temps la température globale de la planète de 5 à 10°C. Ce sera le début de la fin, mais pas dans la chaleur car cela sera vite suivi d’une nouvelle période glaciaire. Voir mon ouvrage »Terre de violences ».

 

Nous savons que certaines forêts, comme celles de séquoias, ont besoin d’un incendie une ou deux fois par millénaire pour mieux revivre. La Nature a prévu pour cela la foudre naturelle du ciel.

Mais pour les autres forêts ?

On laisse brûler ; le plus souvent c’est même l’homme qui provoque le feu, y comprit pour les forêts de séquoias.

Tous les ans, c’est la même tragédie. Des forêts entières, et les animaux qui y vivent, sont dévorés par les flammes.

Nous le savons, les politiques la savent. Mais rien n’est fait pour limiter l’ampleur de ces catastrophes.

La France, comme tous les pays, manque cruellement et tragiquement de moyens aériens pour étouffer les flammes avant qu’elles ne s’étendent sur de kilomètres. Je précise que lorsqu’une forêt brûle, elle relâche dans l’atmosphère des quantités considérables de Co2.

C’est le double effet, pas kiss cool, mais la première pollution envahie notre ciel, puis, en attendant que la végétation ait recouvré sa luxuriance, c’est de la pollution en moins qui est recyclée.

Mais c’est la crise (pas pour tout le monde), alors il faut impérativement baisser les crédits alloués à la lutte et la prévention contre les incendies. C’est l’inverse qu’il faudrait faire. Je pose la question :  « Quel est le prix d’une vie et de la vie ? ». Vie d’une personne, vie d’une plante parfois en danger de disparition, de centaines d’animaux indispensables à l’écosystème.

 

J’en profite pour vous informer que la solution de l’énergie ne se trouve pas dans les éoliennes et les panneaux photovoltaïques à moins que tous les habitants soient capables de voir leurs factures d’électricité être multipliées par 4 au minimum.

 

Il y aurait tant et tant à dire sur le sujet. La Nature est attaquée de toutes parts.

J’ai écrit un petit ouvrage où je décris l’évolution de notre terre, le réchauffement climatique actuel (et les précédents) et la prochaine glaciation qui elle est certaine et sans doute plus proche dans le futur que certains le pensent.

Cette ouvrage s’appelle :  « Terre de Violences ».

J’ai également fait un petit bouquin dont le titre est : « 1492, année noire soutane ». Il est un historique de la découverte et de la conquête des Amériques et leurs conséquences. Environ 90 pages.

J’ai fait un dictionnaire commenté des batailles navales les plus marquantes de l’histoire.

J’ai fait un bouquin sur les Mythologies et les religions avec un lexique de presque tous les personnages mythologiques (idéal pour les étudiants)

J’ai fait un ouvrage géographique où je donne entre autres la liste des pays avec leur capital, leur surface, leur point culminant. Les océans, les mers, les lacs et les fleuves y sont présents avec d’autres infos utiles. J’y décris aussi les explorations géographiques sans oublier les explorateurs. Un ouvrage que tous les étudiants devraient avoir dès le CM2.

Merci au nom des animaux à ceux qui passeront commande.

N’oubliez pas, le premier pas pour protéger la Nature, c’est de protéger les êtres vivants, car pour les protéger, il faut sauvegarder leur environnement.

 

Georges

 

Deux belles photos de fleurs pour un peu de tendresse dans ce monde brutal.

Ces pauvres chiens vont subir l’expérience jusqu’à ce que 50/100 soient morts. Les survivants serviront soit à d’autres expériences, soient seront tout simplement tués. Et leurs tortionnaires ont le bon goût de plaisanter pendant les tortures injustifiées mis à part de faire la fortune de quelques élevages protégés politiquement.

Ce chien est un parmi des centaines de milliers, tous victimes injustifiées de l’expérimentation animale. Des tissus humains, des cellules souches et des embryons seraient moins chers et bien plus fiables.

45 à 51 jours d’enfer surchauffé pour des poulets qui devraient nourrir des gens mais ils enrichissent quelques personnes en fragilisant la santé de ceux qui en consomment.

Des chats stockés par milliers dans des hangars de la Suisse. Ces chats seront gazés ou électrocutés afin de pouvoir récupérer les peaux qui seront vendues très chères dans les plus grandes boutiques de mode, y compris rue Montaigne à Paris

Sur cette phot on voit bien la sangle qui comprime les attributs de cet étalon, cela provoque une très grande souffrance qui permet un spectacle plus bandant pour les abrutis qui aiment s’amuser de la douleur infligée aux animaux.

Comme hélas beaucoup trop d’animaux, le guépard, splendeur parmi les splendeurs se meurt. Ses territoires ne font que rétrécir et le braconnage en réduit encore le nombre, et c’est le cas de nombreuses espèces partout dans le monde.

Voilà à quoi doit ressembler une forêt primaire. La forêt primaire est le poumon de la planète, elle régule le taux de CO², donc limite les gaz à effet de serre, mais de plus elle participe à l’équilibre des climats. La détruire, c’est provoquer ici des sècheresses et là des tempêtes.

Et voilà la forêt primaire d’Amazonie après les explosifs et le passage d’énorme engins de chantier. Un nouveau désert. Ici, se sera peut-être des centaines de milliers de bovins qui ruineront les éleveurs européens et français, ou ce sera des plantations destinées à faire de l’éthanol qui finalement sera plus dangereux pour la planète que le bon vieux pétrole.

Au Brésil, en Afrique et en Europe, des centaines de milliers d’hectares de terres fertiles servent à cultiver du maïs ou d’autres plantes destinées non pas à l’alimentation, mais à la transformation en éthanol pour les véhicules. Ces cultures demandes des quantités d’eau colossales, environ 500 litres par kg de maïs. C’est une catastrophe écologique et humanitaire, et pourquoi? Encore pour en enrichir certains, et pour faire plaisir à des « verts » débiles qui confondent protection de l’environnement et privilèges pour eux-mêmes.

Des milliards de mètres cubes d’eau et donc de tonnes pèsent désormais en plus sur une petite partie de la croûte terrestre déjà sensible aux séismes provoqués par la surrection de l’Himalaya elle-même provoquée par la collision entre l’Inde et le continent asiatique. En plus de retenir des sédiments qui auraient été bien utiles pour l’agriculture, cette retenue d’eau provoquera dans un avenir pas très lointain un puissant tremblement de terre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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